samedi 29 décembre 2012

Se dépouiller de 2012 ... se revêtir de 2013


2012 ? Dépouillons-nous des œuvres injustes

2013 ? Revêtons-nous de la Justice de Dieu en Jésus




Chers amis,

Notre récente visite missionnaire au Centre Chrétien Parole Vivante -C.C.P.V-, chez nos amis Esther et David TRAORE, à Fada N'Gourma, au Burkina Faso, a été, dès notre arrivée, marquée du sceau de la 'Justice' de Dieu.


Nous sommes arrivés le samedi soir. Nous devions poursuivre notre voyage, comme chaque fois, dès le lundi matin par le bus; ce qui implique qu'il faut chercher deux taxis, négocier le tarif... ce qui n'est pas une simple affaire, même si David est, comme d'habitude, le négociateur, tirant son plan au mieux des intérêts de chacun. Toutefois, cette fois-ci, c'est oublier que dans sa bonté, Dieu tire également le sien.

Voyager en bus est une chose. Dans le secret de nos cœurs, combien d'actions de grâces sont montées dans l’espérance de voyager un jour en voiture…
La prière de la foi, a une grande efficace; son exaucement arrive en son temps.

A Niamey, au Niger, soit à 500 km de Ouagadougou, le Saint-Esprit se mit en mouvement dans une humble demeure, là où habite une femme avec ses deux enfants; à l’écoute du Seigneur Jésus, pour servir ses bienfaits, le moment venu.

Dans le cadre de son activité professionnelle, cette femme devait se rendre à Ouagadougou, et, le loueur de voiture, attribué à son organisme employeur, lui fait part qu'il tenait gracieusement à sa disposition un véhicule; il était en conséquence pour le pays. Surprise, elle demande alors au Seigneur Jésus la raison d’une telle faveur? Et le Seigneur de lui répondre: "Va chercher mes serviteurs à Ouagadougou."
Dans ce même temps, s’ajoute une visite inattendue, une connaissance, qui se présente chez elle; dans la conversation, elle informe son visiteur de son déplacement; sur quoi, ce dernier lui promet de revenir vers elle, avant son départ. En effet, en fin de journée, le visiteur revient vers elle, lui remettant alors une enveloppe personnelle pour service rendu dans le passé, et il reprend sa route.
Notre sœur ayant effectué, au préalable, une estimation des frais de route qui s’élevaient à 230 Euros (150.000 CFA); et, nouvelle surprise, c'était exactement la somme que contenait cette enveloppe "miracle".
Et pour le retour, après s'être mise, jour et nuit, à jour de son travail, elle se mit de nouveau à notre disposition, avec sa voiture personnelle, pour nous ramener à la capitale.

Devant la bonté de Dieu, manifestée à notre égard à partir d'un cœur qui lui était disposé pour servir un aspect -important pour nous- de Sa Justice, nous ne cessions de Lui exprimer notre reconnaissance. L'impact de cette bonté se répandait en nous comme un fleuve de vie.
Si nous étions 'transportés' dans l’allégresse sur la route de Fada N'gourma, nous l'étions également dans les hauteurs célestes, les regards fixés sur Jésus, notre Justice. Chaque jour qui se levait, nous offrait le ciel ouvert et nous jouissions du repos que procure la Foi en Lui, et, surtout, l'inspiration du temps présent, ajustant alors notre action sur les priorités du moment.
Nous étions entourés d’actes de bienveillance, comme par 'nos enfants et nos petits enfants'.

En suivant notre Seigneur Jésus dans Ses œuvres, humblement je le crois, nous étions une voix prophétique, faisant entendre dans cette région ce que l'Esprit dit aux Églises. L'exercice de notre Foi ressemblait à une pirogue, glissant sur le fleuve de la vie, chargée de ses bienfaits pour qui désirait se servir par pure grâce. Il nous suffisait de veiller sur le mouvement de l'Esprit.

Allons-nous continuer à subir les pressions diaboliques du 2ème ciel, là où siègent les ténèbres?
Heureux celui qui écoute et veille à ce que sa lampe ne manque point d'huile (Matthieu 25: 1-13); au jour de la révélation, il se lèvera, et ira à la rencontre de Jésus Glorifié.
C'est ce temps prophétique qui est arrivé où nous devons nous lever et passer à l'autre bord, c'est-à-dire dans les réalités célestes, en vue d'accomplir, dans la dimension que le Seigneur a prévue, le service des Vainqueurs. La Foi en action fait alors reculer nos propres limites. Nous ne pouvons être en mesure de nettoyer concrètement ce 2ème ciel, qu'en parvenant, comme Jean, à 'monter' dans la Salle du Trône; ce qui implique la nécessité de revêtir Jésus-Christ Glorifié, afin que notre corps entre dans ce processus de transformation, jusqu'à être assis réellement avec Lui dans Sa gloire.

C'est une réalité qui fait partie du plan de Dieu, que nous devons rechercher à vivre, afin de participer à l'œuvre de l'Église des Vainqueurs, dont la mission est de vaincre ces ténèbres qui se tiennent dans ce 2ème ciel, et d'éjecter, enfin, l'accusateur (Apocalypse 12: 10-12); c'est un choix, il appartient à chacun de s’y engager, le cas échéant. A celui qui 'Vaincra'!?
Comment revêtir Jésus Glorifié ?
Croire que c’est possible, et, comme Jean, vivre le baptême de Feu –Gloire (Matthieu 3: 11-12).
Ne refusons pas d'entendre le Saint-Esprit qui nous parle du Haut des Cieux.
Jésus a dit à Marie, sœur de Lazare:
Jean 11: 40 Jésus lui dit: "Ne t’ai-je pas dit que si tu crois, tu verras la gloire de Dieu?"
Alors, tandis que votre regard est fixé sur le pays de la promesse, croyez et voyez-le s'accomplir, et pouvant dire, comme l'apôtre Paul l'écrivait aux Philippiens, ses amis partenaires:
Philippiens 3: 12 Ce n'est pas que j'aie déjà remporté le prix ou que j'aie déjà atteint la perfection, mais je cours pour tâcher de m’en emparer, puisque de moi aussi, Jésus-Christ s’est emparé. 13 Frères et sœurs, je n’estime pas m’en être moi-même déjà emparé, mais je fais une chose: oubliant ce qui est derrière et me portant vers ce qui est devant, 14 je cours vers le but pour remporter le prix de l’appel céleste de Dieu en Jésus-Christ.15 Nous tous donc qui sommes mûrs, adoptons cette attitude et, si vous êtes d'un autre avis sur un point, Dieu vous éclairera aussi là-dessus. 16 Seulement, là où nous en sommes, marchons dans la même direction [et vivons en plein accord].

Revêtir réellement et corporellement Jésus Glorifié n'est pas une utopie, mais une réalité biblique qui dépasse nos réalités terrestres dans lesquelles nous sommes en captivité; sans cesse, nous sommes confrontés à l'injustice grandissante sous toutes les formes; et la chrétienté n'est pas épargnée. Certes, béni soit le Seigneur Jésus pour tous Ses bienfaits qui, çà et là où Sa Parole est prêchée, les effets miraculeux de Son Royaume se manifestent en faveur d'un grand nombre de personnes qui voient leur vie totalement transformée ici-bas. Mais il n'en demeure pas moins, que Dieu nous désire esprit-âme-corps dans Sa plénitude; poursuivons l'exploration du pays promis, comme d'autres de par le monde le font et rapportent des témoignages qui concordent entre eux, et avec La Parole.

La Foi, c'est croire ; et croire c'est agir avec détermination en vue de se positionner dans cette réalité céleste; ce que nous ne voyons pas encore, devient alors une réalité céleste visible pour celui qui croit et agit en conséquence.

Jésus-Christ Glorifié, en nous et sur nous, est la substance de Dieu, le reflet de Sa gloire dont l’empreinte sur notre être, esprit-âme-corps, doit devenir visible.

Hébreux 1: 3 Le Fils est le reflet de sa gloire et l’expression de sa personne, il soutient tout par sa parole puissante. Après avoir accompli [au travers de lui-même] la purification de nos péchés, il s’est assis à la droite de la majesté divine dans les lieux très hauts.

1 Thessaloniciens 5: 23 Que le Dieu de la paix vous conduise lui-même à une sainteté totale et que tout votre être, l’esprit, l’âme et le corps, soit conservé irréprochable lors du retour de notre Seigneur Jésus-Christ! 24 Celui qui vous appelle est fidèle, c’est aussi lui qui le fera.
Chers amis, Michelle et moi, nous vous souhaitons de Bonnes Fêtes de fin d'année, en famille, avec vos amis.
Et pour vous qui êtes seul(e), à l'hôpital, dans le deuil, ici, à Royan, nos pensées, nos mains sont tournées vers vous ; que Dieu, le Père de toute consolation, vous témoigne Sa présence réelle en Jésus, et comble votre être – esprit-âme et corps.

Voulez-vous commencer avec nous cette année 2013 ?
Envoyez-nous un petit mot et partagez-nous votre fardeau du moment ; avec vous nous prierons.

Et pour nous engager ensemble dans cette année 2013, je vous invite, dans un acte de Foi, à vous joindre à nous: portons notre regard sur Jésus Glorifié, avec ce désir que tout notre être, esprit-âme-corps- soit embrasé en Lui et s’élève avec Lui dans Sa Gloire. C'est Lui qui le fera.

A l'aube de cette année 2013, nous sommes assurés d'être bénis de Lui.
Éphésiens 1: 3 Béni soit le Dieu et Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui nous a bénis de toute bénédiction spirituelle dans les lieux célestes. …
Entrons dans nos bénédictions célestes et bénissons-nous mutuellement au Nom de Jésus.

Avec certitude, nous pouvons alors déclarer à l’égard de chacun et de chacune, au Nord, au Sud, à l'Ouest, à l'Est:
"Mon frère, ma sœur, tu es béni(e) de notre Père en Jésus. Amen!"
En Lui.
Vos chers amis
Michelle et Yves GRAVET






  
PS: Pour introduire cette année 2013, que du Haut des Cieux, là où vous et nous, nous sommes appelés à siéger avec Jésus, votre libéralité soit exécutée dans un acte empreint de la Justice de Dieu, en vue d'implanter, par le moyen de Son œuvre Vie Comblée, l'œuvre de Sa Gloire dans le cœur de ces pierres vivantes vers lesquelles nous sommes envoyés pour aimer et servir; le Saint-Esprit œuvre à nous rassembler tous dans la Salle du Trône. Merci.

jeudi 12 juillet 2012

Le paludisme et la nuée de gloire


Yves et Michelle GRAVET

Jésus exerce aujourd'hui, comme hier son ministère de guérison, en réponse à notre foi.

Certains de nos amis dans la médecine à qui nous avons partagé ce témoignage, y compris notre médecin traitant, s'accordent pour dire que Michelle a vécu un miracle.

Ces quelques lignes ne suffiraient pas pour vous partager ce que nous avons eu à gérer de janvier à mars 2009 dans le secret par obéissance aux instructions que notre Seigneur Jésus nous donnait jour après jour. La première étant : garder le silence, tout va bien.

En quelques mots, voici un résumé.
Fin décembre 2008, suite à notre retour de mission en Afrique au Burkina Faso, Michelle doit se rendre auprès du service hospitalier pour un changement d'insuline. Peu de jours après, suite à chaque injection, les réactions se manifestent (grande fatigue, transpiration, et divers maux).
Michelle perd l'appétit. Nous nous rendons à nouveau au service hospitalier où on nous explique que cela ne peut être la cause de cette fatigue.
Des examens plus approfondis sont alors engagés.
Le 2 janvier, les premières prises de sang révèlent un diagnostic inquiétant.

Michelle se rend à plusieurs reprises aux différentes consultations. À chacune de ses consultations nous informons le service médical que nous revenons du Burkina Faso, et qu'en plus des réactions négatives à la nouvelle insuline, semble s'ajouter des symptômes de paludisme. Le service médical poursuit ses investigations selon leurs critères. Le patient n'est pas écouté.

Michelle n’ayant plus d’appétit a déjà perdu près de 10 kilos, elle passe son temps allongé sur le canapé. Nous sommes, dans la prière et l'écoute de Dieu. Le Seigneur lui parle : « C'est pourquoi je vous dis : Tout ce que vous demandez en priant, croyez que vous l'avez reçu, et cela vous sera accordé ». (Marc 11:24).

Premier miracle. Les réactions négatives aux injections de l'insuline étaient devenues préoccupantes ; nous pouvions lire sur la notice le risque d'effets secondaires : « pronostic vitale en danger »
Le médecin responsable au service hospitalier va nous déclarer : « je m'incline, je reconnais que vous faites une allergie à cette insuline, vous faites parti d'un cas sur 1000. »

Toutefois, poursuivant les examens, le médecin manifestait une certaine  inquiétude. Un nouvel examen venait révéler une anomalie au foie, et la rate qui s'est révélée très grosse et risquait d'éclater à un moment ou à un autre. Ils poursuivirent leurs investigations.
À nouveau nous attirons l'attention du service et du médecin comme quoi nous revenions du Burkina Faso. Car, bien qu'étant en possession des prises de sang, aucune recherche sur le paludisme n'avait été engagée. Le patient n'était pas écouté.

Michelle s’était engagée à satisfaire un service en faveur de notre belle-fille qui devait s'absenter au Gabon pour raisons familiales. Elle a donc pris la décision d'aller (à 120 km de chez nous) garder notre petite fille en l'absence de sa maman. Jusqu'au jour où notre fils, revenant de son travail, s'est rendu compte que quelque chose n'allait pas chez sa mère, elle était restée couchée. Entrant discrètement dans sa chambre, il a vu la mort qui marquait le visage de sa mère. La stupeur s'emparant de lui, il l'a fit lever pour qu'elle ne sombre pas dans le coma.
Je me suis empressé d'aller rechercher Michelle à 120 km de chez nous. Durant notre retour, elle était somnolente et je la faisais parler, tandis que par téléphone nous prenions un nouveau rendez-vous au service hospitalier en charge de son dossier médical.

Peu après un autre rendez-vous est pris.
Lors de cette nouvelle consultation Michelle a déclaré au médecin : « Docteur, vous me cherchez un cancer que je n'ai pas ? »
Le médecin lui répond : « je n'ai pas dit cela Mme Gravet. Vous revenez dans deux jours, nous vous ferons un prélèvement de la moelle osseuse. »

Michelle ne mangeait plus. Elle se nourrissait d’un yaourt midi et soir.
Nous sommes rentrés à la maison.
Épuisée, Michelle s’allonge sur le canapé et prie « Seigneur, qu’est-ce qui se passe ? J’ai besoin d’aide. »
Je suis à ses côtés, dans la prière…
Et là, le regard tourné vers la fenêtre, « elle voit une nuée » venant se poser sur son abdomen.
Ensuite, elle s’est vue allongée sur une grande table et elle est montée dans le ciel. Elle a alors entendu une voix « Prends position à l’hôpital

Nous prenons alors contact avec le docteur à l’hôpital.
Lorsque nous sommes arrivés, Michelle déclare « vous ne me toucherez plus. »
Michelle poursuit : « Docteur, vous avez besoin d'être éclairé, je vais prier pour vous afin que vous soyez éclairé dans votre diagnostic. »
S'en allant vers son bureau, il s’est retourné et revenant vers elle, il lui dit : « je retiens ce que vous venez de me dire. Merci madame. »
(Michelle n’a pas accepté le prélèvement de la moelle osseuse, elle était convaincue que c’était le paludisme).

Peu de jours après, le médecin du centre hospitalier nous convoque en urgence. Il est arrivé avec tout le dossier en main : « Nous avons du nouveau » dit-il.
Ce tournant vers Michelle, il lui dit « vous avez prié afin que je sois éclairé, j'ai été éclairé. J'ai présenté le dossier à mes collègues et nous avons comparé chacune de vos prises de sang. En effet nous avons trouvé des traces de paludisme dans la prise de sang du 2 janvier 2009 ». Nous étions le 24 mars 2009. Michelle est restée trois mois sans traitement avec un neuro-palud.

Rendez-vous est pris en urgence à Bordeaux dans un centre des maladies tropicales où un spécialiste nous attendait le lendemain. Quelle ne fut pas sa surprise de voir l'état de la prise de sang et de la rate, au point de dire : « Savez-vous que des milliers de personnes meurent de ce paludisme ? » Il croyait à une négligence de notre part.
Michelle a pu lui répondre : Si vous avez quelque chose à dire, dites-le à vos confrères qui n’ont pas trouvé le paludisme présent dans la première prise de sang du 2 janvier.
En présence du spécialiste, Michelle était en pleine crise de paludisme. À la lecture d'une nouvelle analyse de sang, le médecin diagnostiqua un paludisme mortel avec des organes touchés (la rate, le foie, le cœur fatigué…).
Le professeur a traité ce paludisme en trois jours.

En conclusion de ces quelques lignes, durant trois mois Michelle est restée avec ce paludisme accompagné d’une anémie sévère.

Qui pouvait la tenir dans ses bras à ce moment là ? Notre Seigneur Jésus ! A lui toute la gloire !

mardi 29 mai 2012

La foi qui ouvre la voie de la bénédiction


Elie, le Thischbite, un habitant de Galaad, était un homme de la même nature que vous et moi. Il était le 'serviteur' de l'Éternel. Or, qui dit 'serviteur' dit 'écouter' le maitre pour 'recevoir' ses instructions, et faire ce qu'il 'montre' de faire ce pour quoi il nous a choisis et établis. Ainsi, Elie écoutant la voix de l'Éternel, afin de suivre ses instructions, était en mesure de déclarer avec assurance ce qu'il recevait de Lui : "L'Éternel est vivant, le Dieu d'Israël, dont je suis le serviteur ! Il n'y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à 'ma parole'." – 1 Rois 17 : 1. Et de s'engager dans ce qu'il lui montrait de faire pour régner dans Ses œuvres : "Pars d'ici, dirige-toi vers…, cache-toi…. Tu boiras de l'eau du torrent… et j'ai 'ordonné' à des corbeaux de te nourrir." 1 Rois 17 : 4, 5. Ce qu’il fit.

Plus tard, à nouveau, la Parole de l'Éternel lui fut adressée : "Lève-toi, va à Sarepta, … et demeure là. Voici, j'y ai 'ordonné' à une femme veuve de te nourrir." 1 Rois 17 : 8. Elie se mit en marche. Le moins que nous puissions dire, c’est que les circonstances ne favorisaient pas à prendre un tel engagement pour se rendre au sein d'une famille en difficulté économique ; Dieu a Son plan, cela va sans dire, évidemment.
Nous remarquons, ici, que rien ne nous dit qu'Elie avait passé du temps à 'invoquer' l'Éternel pour obtenir un peu de sa faveur. En outre, mieux encore, Elie était un homme qui 'dialoguait, conversait' avec l'Éternel. Car se rendant attentif à ses moindres instructions, il les appliquait en s'engageant ce vers quoi il devait aller ; par conséquent, il était assuré de 'voir' le témoignage que l'Éternel rendait à Sa Parole. Il lui suffisait de déclarer (prier) ce que l’Éternel lui révélait, de poser des actes, et le miracle de Dieu s'accomplissait. Elie était ce serviteur parvenu à 'ETRE' ce que l'Éternel dit un jour à Moïse, tu diras 'JE SUIS'.
'Entendre' et 'voir' les réalités célestes qui appartiennent au Royaume de Dieu, deux verbes à partir desquels le miracle de Dieu jaillit par Sa puissance et Sa gloire. La Parole de Dieu est 'vivante'.

Certainement qu'au bord de ce torrent, Elie, assoiffé d'écouter 'les' instructions de l'Eternel pour les appliquer sans discuter le pourquoi du comment, avait passé du temps à 'converser' avec l'Éternel, et qu'il prenait plaisir à 'entendre' de Lui et de ce qu'il Le 'voyait' faire. Sa foi ne s'attardait pas sur les circonstances d'ici-bas, mais elle était orientée avec 'une ferme assurance' vers une démonstration vivante des réalités célestes auxquelles il avait accès. Ainsi, se perfectionnait-il de jour en jour pour devenir semblable à l'image de l'Éternel qui 'dit' et qui 'accomplit' ce qu'il dit : "L'Éternel est vivant, le Dieu d'Israël, dont je suis le serviteur ! Il n'y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à 'ma parole'." Et cela jusqu'au jour où, pleinement transformé, il sera, aux yeux d'Élisée, enlevé 'esprit, âme et corps' dans la gloire de Dieu, sans passer par la mort corporelle.
Nous pouvons comparer avec Jésus : "En vérité, en vérité, je vous le dis, le Fils ne peut rien faire de lui-même, il ne fait que ce qu'il 'voit' faire au Père ; et tout ce que le Père fait, le Fils aussi le fait pareillement. Car le Père 'aime' le Fils, et lui 'montre' tout ce qu'il fait ; et il lui montrera des œuvres plus grandes que celles-ci, afin que vous soyez dans 'l'étonnement'." Jean 5 : 19-20.

Elie arrive dans la ville de Sarepta. En apercevant cette veuve ramasser du bois, il 'voit' en elle une réalité céleste concrète qui se manifeste conformément à l'instruction de l'Éternel. Il l'interpelle et lui demande de l'eau pour qu’il boive et un morceau de pain pour manger ; à noter qu’il précise dans ‘ta main’. Pour quelle raison est-il précisé 'ta main' ? La main symbolise le moyen de 'bénir', de 'servir', de 'semer'…
Cette femme savait que le Dieu d'Elie était vivant (v.12), elle connaissait la réputation du Dieu d'Israël ; elle y était étrangère. Elie, le serviteur qu'il était, avait-il une nature différente ? Il est intéressant de lire en 1 Rois 18 : 11-12, où l’action de l’Esprit de l’Éternel sur Elie était telle, qu’il pouvait être transporté, déménagé d’un endroit à un autre dans les œuvres de Dieu. Avec assurance, il pouvait servir ce qu'il possédait pleinement de Lui : "il n’y aura ces années-ci ni rosée ni pluie, sinon à ma parole." Ce n'était pas une confession positive, ni de la pensée positive, mais une affirmation à partir de ce qu'il détenait des réalités célestes ; ainsi dominait-il sur le deuxième ciel et régnait-il sur son champ de mission comme étant cet 'instrument' de la justice de Dieu : temps de sécheresse pour les uns (jugement), miracles pour d'autres (bénédictions). Dieu manifestant ainsi la différence entre celui qui le servait et celui ne le servait pas. Un libre choix. Un mode de vie où ses valeurs éternelles se réactualisent de jour en jour.

Nous pouvons comprendre que cette veuve ait pu dire "l'Éternel ton Dieu est vivant !" Son mode de vie n'était pas fondé sur les mêmes valeurs. Nous pouvons imaginer la scène : "Il est vivant pour toi Elie. Mais pour moi, étrangère, regarde, une poignée de farine et un peu d'huile, de quoi préparer un maigre repas pour mon fils et moi, après quoi nous mourrons !" - Sous-entendu ton Dieu veut notre mort. Lisez 1 Rois 17 : 18. Plus tard, le fils de cette femme est sur le point de mourir. À nouveau Elie vient la visiter. Ce qui importune cette femme, au point qu’elle ne voit pas la "bénédiction" qui frappe à sa porte. La culpabilité pesante, sa vie est en train de s'échouer ; ainsi est l'œuvre de l'accusateur sur une multitude de personnes y compris des croyants : "Qu'y a-t-il entre moi et toi, homme de Dieu ? Es-tu venu chez moi pour rappeler le souvenir de mon iniquité, et pour faire mourir mon fils ?"

À deux reprises, l'Éternel dirige "son serviteur" Elie dans les œuvres qu'Il a préparées d'avance, afin d'y manifester le témoignage de Son amour à l'égard de cette femme, mais au travers d'elle à toute une famille, à une région où il ne faisait pas 'bon vivre'.
Fait-il bon vivre chez vous ? Dans votre famille ? Votre région sur cette terre où vous habitez ?

Tout dernièrement, dirigé par le Saint-Esprit, nous étions en mission dans la région de Pérouse en Italie, au sein d'une petite assemblée francophone. Nous y avons servi ce que le Saint-Esprit nous révèle des dernières instructions que notre Seigneur Jésus est venu nous donner et contenues dans le livre de l'Apocalypse. Or, durant cette semaine-là, Michelle a eu un songe : "Elle était sur une plate-forme, en hauteur, et voyait ce qui se passait ici-bas dans la région où nous étions, en l'occurrence un 'tremblement de terre'.
Le lendemain, lors de nos conversations avec le couple pastoral, Michelle leur a partagé ce songe et recommandé de prier pour cela…Le Saint-Esprit a-t-il été entendu par nos amis ? Six jours après, un tremblement de terre a eu lieu dans la région de Bologne, non loin de là où nous étions.

Il y a plusieurs mois, visitant une personne qui traversait une situation professionnelle et économique difficile, j'ai entendu cette voix qui nous est familière : "demande-lui qu'elle te donne 1 euro." Ce que je fis.
Hésitante, la personne me dit "je n'ai pas d'argent" ; j'insiste et lui demande '1 euro'. Et elle me donne une pièce de '1 euro'. Je lui dis alors : "Le Seigneur va te rendre au-delà…". Les mois sont passés…aucune nouvelle. Or, nous venons d'apprendre que peu après, sa situation professionnelle s'est débloquée. Gloire à Dieu !

Nous prions pour vous.
Que ce temps dans lequel nous sommes soit pour vous une réelle nouvelle Pentecôte où le feu céleste vient vous embraser esprit, âme et corps.
Soyez attentifs : Jésus vient frapper à votre porte…Il désire 'converser' avec vous, orienter votre foi vers la révélation de sa gloire, de passer par le baptême de feu, et le but de la mission des vainqueurs.
Marcher dans la voie prophétique, c'est entrer dans le vécu des réalités célestes et se saisir de ce que Jésus est venu nous restituer pour le vivre concrètement. Nous sommes ses cohéritiers. Il a fait de nous un royaume de sacrificateurs, ceux-là demeurent dans le Royaume de Dieu en vue de régner sur la terre.

Nous sommes invités à investir l'ouvrage de nos émissions 'REFLEXION' avec TV-VIECOM. Le Saint-Esprit nous ouvre ici la porte d'une chaine de télévision par satellite sur le continent d'Afrique.
Qu'avons-nous à Lui donner ? Nous avons tout pleinement en Lui.
Ensemble, à partir de là où nous siégeons avec Jésus, investissons ce qui nous vient pleinement de Lui.
J'ai cette assurance que Dieu vous (nous) comble dans vos (nos) besoins du moment, et ceux de demain.

Fraternellement en Lui,
Votre frère et ami
Yves GRAVET

mercredi 25 avril 2012

Devenir semblable à Jésus

Chers amis,



Je désire ardemment que chacun de vous prospère « à tous égards » et soit en bonne santé, comme prospère l’état de votre âme. (3 Jean 1).

Ce désir est celui que Dieu fait naître dans notre cœur, car c’est dans Sa volonté de nous voir prospérer dans la révélation de Sa Parole. Il la confirme au sein de notre vécu quotidien dans notre relation personnelle avec notre Souverain, Jésus-Christ, notre Roi de Gloire. Il vient enrichir la foi des vainqueurs, de ceux qui se lèvent à Son appel pour s’attacher à Jésus, en vue de se rassembler en Sa présence dans la salle du trône. C’est là que Son Église demeure sous Son autorité, en vue du plus grand réveil de son histoire. Il la nourrit pour la faire paraître avec Lui dans Sa gloire.

Oui ! Çà et là, dans le monde entier, le Saint-Esprit met en lumière le mystère de l’Église de notre Seigneur Jésus-Christ, renouvelant ainsi notre intelligence qui nous permet alors de saisir la dimension des réalités célestes en ce qui concerne la plénitude de notre salut. Aussi, suis-je pressé par l’Amour de notre Père, de porter à votre connaissance ces réalités célestes qui nous sont révélées, et cela par tous les moyens de notre temps ; elles sont fondamentales en vue du plus grand réveil de l’histoire de l’Église auquel nous avons la possibilité d’être pleinement associés en tant que membres de son corps.

Au sujet du corps, abordant la relation pratique et exemplaire que le mari et la femme sont destinés à vivre selon le plan de Dieu, l’apôtre Paul utilise ces valeurs pour nous hisser dans la dimension céleste de ce que notre Seigneur Jésus a déjà opéré en notre faveur, pour (je le cite) : « faire paraître devant lui cette Église glorieuse, sans tâche, ni ride, ni rien de semblable, mais sainte et irrépréhensible. » (Éphésiens 5 : 25-27).
Décryptons en quelques mots Son Église :
Son Église glorieuse, signifie qu’elle est immortelle.
Son Église sans tâche, signifie qu’elle est sans peine.
Son Église sans ride, signifie qu’elle est sans fissure.
Son Église sans rien de semblable, signifie qu’elle n’a rien de comparable.
Son Église sainte, signifie qu’elle est bienheureuse, imposante, élevée, noble, majestueuse, respectable, sacrée.
Son Église irrépréhensible, signifie qu’elle est irréprochable, incorruptible, intouchable, invincible, inattaquable, imprenable, invulnérable.

Je ne puis résister à cette réflexion : Quelle est la nature actuelle de ton (notre) Église ? Qui la façonne réellement ? A quoi ressemble-t-elle ? Certes, depuis la Pentecôte nous avons commencé par l’Esprit. Mais que faisons-nous de ce que Jean a écrit en Apocalypse lorsque Jésus est re-venu afin de lui révéler la suite du plan de Dieu pour Son Église dans lequel elle aurait du se mettre en marche depuis plus de 2000 ans ?

Visualisons le but glorieux vers lequel nous sommes appelés, invités à marcher ! Ne perdons pas de temps à des formalités religieuses. Jésus a pour nous inauguré la voie sacrée du vainqueur. Aussi, comme le dit Paul : « …jamais personne n’a haï sa propre chair, mais « il l’a nourrit et en prend soin » COMME CHRIST LE FAIT POUR L’ÉGLISE – SON ÉGLISE, par ce que nous sommes membres de SON CORPS. »
De quel CORPS nous parle-t-il ? Quel en est sa stature ? Quel en est sa nature ?
Jésus, l’Époux par excellence, s’est livré Lui-même à la croix pour que notre corps mortel, corrompu, dans lequel il est venu au milieu de nous, soit porté à la croix pour y être crucifié. Or, Jésus ayant vaincu pour nous « la mort », est ressuscité, il est vivant.
Dieu nous offre la possibilité de revêtir dès maintenant la nature glorieuse de Son Fils premier-né d’entre les morts. Ce qui implique, que pour devenir semblables à Lui, nous devons être esprit, âme et corps immergés, baptisés en Lui du Saint-Esprit d’une part, et de FEU d’autre part. C’est au moyen de la foi que nous acceptons le plan décrit par l’apôtre Jean, pour nous approprier concrètement des réalités célestes qui, manifestement, résultent de Son alliance. C’est ainsi que Jésus voit Son Église – Épouse glorieuse. C’est de Son corps glorifié que nous sommes destinés à devenir des membres semblables à Lui pour former un seul corps, c'est-à-dire une seule et même nature que son corps glorifié, par conséquent rendu intouchable par le péché. Car « Quiconque demeure EN LUI ne pratique pas le péché ; quiconque pratique le péché NE L’A PAS VU, et NE L’A PAS CONNU. » (1 jean 3 :6).

Paul enrichit ses propos : « C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair. Ce mystère est grand ; je dis cela par rapport à Christ et à l’Église. » (Éphésiens 5 : 31-32).
Quelle définition voulons-nous de plus sur la nature de ce mystère qui n’en est plus un pour nous qui sommes arrivés dans ces temps où, il faut le dire, beaucoup de croyants sentent bien que leur environnement spirituel ressemble à un désert, tandis que le vent de l’Esprit souffle çà et là, réveillant l’esprit de ceux qui, persévérant à bien faire, cherchent, consciemment ou inconsciemment, l’honneur, la gloire et l’immortalité (Romains 2 :7).

Voulons-nous comprendre et saisir l’enjeu de notre salut ? L’apôtre Paul met ici en évidence ce que doit être véritablement notre union avec Jésus corps glorifié, c’est-à-dire ne faire qu’un avec Lui esprit, âme et corps. Or, nous entrons dans ce processus divin en acceptant dès maintenant la nécessité de passer par le baptême de feu, afin d’être réellement « EN » Christ, et de voir notre corps se transformer de gloire en gloire pour devenir semblable à Lui.

Ajoutons, qu’en levant le voile sur ce que doit être la relation de l’Église avec Christ Glorifié, Paul illustre cette relation à l’image du couple homme et femme, c'est-à-dire une relation dans « l’amour parfait » qu’il nous décrit dans 1 Corinthiens 13 ; il y démontre une nette distinction du véritable AMOUR Divin d’une part, avec l’amour sacrificiel d’autre part. En effet, l’Amour parfait est au-dessus de tout et ne peut se trouver que si nous sommes concrètement en Jésus Corps glorifié. Là se trouve le repos de l’activité de la foi, tout comme Dieu se reposa de toute son activité (Genèse 2 : 2).

Ne refusons pas d’entendre celui qui nous parle du haut des cieux. La question qui se pose ici à chacun d’entre nous : Voulons-nous revêtir Sa nature ? Voulons-nous voir Jésus tel qu’Il est dans sa gloire ? Voulons-nous ne faire qu’un avec Lui dès maintenant ? N’oublions pas l’instruction que Jésus, notre Souverain donne à chacun en s’adressant aux sept Églises : « A celui qui vaincra… ».
Qui de vous veut être au nombre des vainqueurs ? La foi du vainqueur « vient » de ce que l’on « entend » de la Parole de Dieu. Celui qui entend, s’engage en tant que vainqueur à sortir de son désert, de ce qui le rend captif. C’est au Nom de Jésus que ce vainqueur s’engage librement avec la ferme assurance pour accéder dans la salle du trône où les réalités célestes ont été portées à son compte. Ce vainqueur s’affectionne aux choses d’en haut qu’il découvre, tandis qu’à ses yeux les choses de la terre pâlissent peu à peu. Ce vainqueur sort de ce qui a vieilli, afin de se nourrir plus amplement du pain de vie qu’est le corps glorifié de Jésus pour vivre par Lui (Jean 6 : 53-58).

Je rends grâce à Dieu pour l’empreinte de Son Amour qu’il pose sur le service de votre libéralité pour que nous portions à la connaissance d’un grand nombre ce que je viens de vous partager en quelques lignes.
Pour vous aider dans l’exercice de la foi du vainqueur, je vous partage sur DVD un message intitulé « Devenir semblable à Lui », il est dès maintenant à votre disposition sur simple demande de votre part.

Pour vous, Michelle et moi rendons grâces à Dieu du témoignage qu’Il rend à Sa Parole en votre faveur.
Ne manquez pas d’adapter votre marche pour aller à la rencontre de Jésus glorifié, le toucher, comme cette femme est allée avec détermination au milieu de la foule le toucher, et recevoir la guérison dans son corps (Matthieu 9 : 20). Elle n’est pas passée inaperçue. Au milieu de cette foule bruyante, Jésus a su l’identifier et valoriser la mesure de sa foi.

Quelque soit l’endroit où vous êtes, allez à Lui pour le toucher concrètement, vous ne passerez pas inaperçu à ses yeux. Au fait, pensez à garder vos yeux ouverts si vous voulez Le voir tel qu’Il est dans sa gloire !

Fraternellement en Lui,
Votre frère et ami
Yves GRAVET

jeudi 2 février 2012

Entrer et sortir du Royaume de Dieu

Chers amis, frères et sœurs,


Sur la précédente route du vainqueur, le sujet de ma réflexion était « Entrer et Voir le Royaume de Dieu », ceci afin d’ajuster notre vision sur les réalités de la vie chrétienne ; vous pouvez retrouver ce sujet en copiant ce lien sur votre moteur de recherche internet pour accéder sur notre blog :

Aujourd'hui, en poursuivant sur la route du vainqueur, voici ce que notre Seigneur Jésus-Christ me donne de vous servir pour mieux appréhender le vécu quant à de telles réalités célestes :
« C’est moi qui suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera de quoi se nourrir. » Évangile de Jean 10 : 9.

Nous entrons dans le Royaume de Dieu par une seule et unique porte : « Au Nom de Jésus-Christ ! » C'est la seule porte qui soit authentifiée par Dieu notre Créateur et Père comme étant le code unique pour accéder dans Son Royaume ; il est devenu accessible à toute personne qui accepte de revêtir l’empreinte de Jésus-Christ glorifié comme don de Dieu pour son salut esprit, âme et corps. La foi étant la ferme assurance que, pour nous, à notre place, Jésus est venu satisfaire pleinement à la Justice de Dieu, conformément à son plan. Alors, à chacun de s’approprier ce don d’amour et de s’y affectionner en vue de revêtir réellement Son empreinte.

Les réalités du Royaume de Dieu ne sont pas de ce monde. Il y a ce que nous voyons dans ce monde, et qui, en définitive, est le reflet d’un monde spirituel, celui du monde de ténèbres. Ainsi, ce monde dans lequel nous sommes nés de chair et sang est sous la puissance de Satan. Ce qui explique le désordre au sein des nations. C’est par la nature du péché que nos yeux sont donc bouchés. Mais, il y a ce que nous ne voyons pas, et qui se trouve dans Royaume de Dieu. C’est le plan d’amour que Dieu a prévu pour nous libérer de cette captivité, en rendant visible les réalités célestes dès lors que nous acceptons de revêtir l’empreinte de Sa Royauté.
Pourquoi refuser ce pour quoi Jésus est venu payer de sa vie le prix de notre rachat ?

Est-ce vraiment possible ! Oui, c’est possible pour quiconque croit pleinement dans son cœur !
Ainsi, par la grâce de Dieu, en détournant notre regard de ce monde, visiblement en perdition, pour nous tourner vers « la porte » de notre salut, nous avons la possibilité d’accéder au Royaume de Dieu, donc d’y « entrer » et, de nos yeux « débouchés » par son collyre, « voir » les réalités célestes et vivre ainsi au bénéfice de telles réalités que le monde ne connaît pas. De plus, Jésus rajoute ici « entrer » et « sortir » pour trouver de quoi nous nourrir. C’est dire que nous sommes assurés d’une vie comblée à tous égards de ses bienfaits.
Comprenons bien ceci. Pourquoi gémissons-nous dans notre corps ? Parce que nous sommes en captivité dans ce qui conditionne notre mode de vie, nos coutumes, nos traditions. Le progrès de la technologie, bien que visant à nous donner du confort, n’a jamais comblé le vide que toute personne peut éprouver, quand bien même elle demeure dans l’abondance financière ou matérielle.

La vie chrétienne se limite aujourd’hui à cette seule possibilité que l'homme intérieur peut, au moyen de la foi, « entrer » et « voir » le Royaume de Dieu uniquement par l'esprit et être ainsi comblé. Ce qui est une bonne chose. Certes. Cependant, à cette frontière, du sein de la chrétienté nous entendons ça et là des gémissements. Or, nous professons avec force ce que nous croyons avoir acquis au moyen de la foi. Amen ! Et nous demeurons ainsi dans la suffisance des prémices de l’Esprit (Romains 8 : 23) ; mais ce n’est là qu’un avant goût des réalités célestes auxquelles nous avons désormais la possibilité d’accéder dans toute sa plénitude. Car, en finalité, nous ne devons pas omettre que « nous avons tous reçu de sa plénitude, et grâce sur grâce » (Jean 1 : 16). Or, nous chrétiens qui, de surcroît, avons été baptisés du Saint-Esprit, quel usage concret faisons-nous de cette plénitude qui est là devant nous portée à notre compte ?

Jésus a pour nous inauguré la route du vainqueur pour que nous parvenions au plus grand réveil de l’histoire de l’Église : Le REVEIL dans la plénitude de Sa Gloire !!!

Chers amis, frères et sœurs, Jésus nous en donne accès dès maintenant sur la route du vainqueur tracée par les instructions dans le livre de la Révélation (Apocalypse). Il nous révèle le plan que Dieu a prévu pour que nous vivions réellement esprit, âme et corps dans la plénitude de Son Amour parfait (Jean 3 : 7). Ce qui implique que nous devrions, comme notre frère l’apôtre Jean, vivre en union avec notre Seigneur Jésus-Christ Glorifié une réelle ivresse d’Amour et, par conséquent, être pleinement baptisé - immergé dans sa nature céleste, nature de feu ; comme pour notre frère l’apôtre Jean, notre corps doit passer par ce processus de métamorphose pour que nous puissions accéder réellement à cette plénitude dans la salle du Trône, là où l’Église de notre Seigneur Jésus-Christ est invitée à se rassembler. C’est là, dans Sa gloire, que nous pouvons vivre et connaître une réelle unité (Jean 17 :22) et exercer alors, sans esprit de concurrence, le service du « sacrificateur » que nous sommes sensés être maintenant. Notons qu’ici, la notion du « ministère » disparaît, puisqu’il a fait de nous un royaume, « des sacrificateurs » pour Dieu son Père (Apocalypse 1 : 6). C’est dire que nous intégrons, non un mouvement, mais cette Église glorieuse qui, à partir de son lieu de rencontre qu’est la Salle du Trône, a une mission à remplir. Ainsi, Jésus est revenu vers Jean pour nous libérer et, dans le principe de Son Alliance, nous faire passer à un autre registre. Ne refusons pas d’entendre.

Réfléchissons. Notre frère, l'apôtre Jean, a été mis aux oubliettes sur cette île de Pathmos par ceux qui, bien qu’ayant commencé avec les prémices de l’Esprit, s'employèrent à sauvegarder un format traditionnel quant aux rencontres agrémentées avec un mélange de spiritualité et de principes humains, et d’actes symboliques. Pour autant, sur cette île Jean n’a pas été oublié du Seigneur Jésus. Et c’est bien là ce qui doit éveiller notre attention. Chacun doit faire son choix : Vivre au dépend d’un mouvement religieux quelconque, aussi excellent soit-il, et se rassurer en entretenant son bien-être intérieur en écoutant des discours, ou vaincre en fusionnant avec Jésus-Christ Glorifié en vue de devenir, par son empreinte de feu, un réel témoin de Sa gloire au sein de ce monde qui, rappelons-le, est dans l’attente de la révélation des fils de Dieu. Être semblable à Christ, c’est là, je le crois, la véritable action de l’évangélisation.

Or, pendant que les autres se satisfaisaient dans leur façon de faire, oublié sur cette île de Pathmos, Jean a eu cet honneur d’avoir la visite de Son Seigneur Jésus qui est revenu pour se révéler à lui dans toute Sa Gloire. Comme nul ne peut voir Dieu et vivre, évidemment Jean est tombé comme mort ; dès cet instant, il fut alors immergé « esprit, âme et corps » en Christ, dans sa nature faite de feu céleste (Apocalypse 1 :14-15). Et, son corps charnel, corrompu, mortel - comme le notre -, fut absorbé dans ce baptême de gloire, revêtu alors de l’incorruptibilité et rendu immortel. Corporellement métamorphosé, transformé de gloire en gloire jusqu'à devenir semblable à Jésus (2 Corinthiens 3 : 18). La mort n’avait plus de pouvoir sur le corps de Jean. Jésus l’ayant libéré et relevé, il pouvait ainsi accéder à la Salle du Trône (Apocalypse 4 :2-3). Il eut la possibilité « d'entrer » et de « sortir » pour nous munir, nous approvisionner de ce que notre Seigneur Jésus Glorifié lui a fait découvrir et donné d’écrire pour notre instruction, à savoir toutes les étapes de la route du vainqueur que nous avons à franchir pour vivre au bénéfice des réalités célestes. Là est le plan que Dieu a préparé pour chaque vainqueur que nous sommes destinés à être avec Jésus. C’est ce que nous devons activement rechercher, afin d’être au sein de cette assemblée de vainqueurs qui se tient dans la Salle du Trône.
Vous connaissez ce chant : « avec Dieu nous ferons des exploits… ». Ce que je ne doute pas dans la mesure où nous intégrons ce plan et désirons le vivre concrètement. Là est la route du vainqueur où la gloire réelle de Jésus se révèle au sein de notre captivité et nous libère. Nous qui avons reçu les prémices de l’Esprit, devons sortir concrètement de cette captivité. Quelle captivité, me direz-vous ? En effet, c’est un paradoxe par rapport à ce que nous avons cru comme étant acquis : « Viens à Jésus, et tu seras réellement libre. » Or, ce n’est pas le cas pour beaucoup de chrétiens qui, tout en usant des prémices de l’Esprit, demeurent en captivité, à savoir : dans la pauvreté, la maladie, faisant face à tant de difficultés familiales, professionnelles comme d’autres dans le monde ; il n’y a en effet aucune différence. Or, nous nous empressons de trouver cela « normal » pour ceux du dehors, mais pour ceux qui se réclament de Jésus-Christ, où est la différence ? Il nous suffit d’observer le peuple d’Israël, il se différencie, avantageusement dans bien des domaines par rapport aux autres peuples ; il en fait la démonstration. C’est là l’œuvre que Dieu opère au sein de son peuple. Et nous, chrétiens, qui sommes greffés à la racine, ne sommes-nous pas son peuple ?

Certaines interprétations qui sont exprimées sur l'Apocalypse compliquent plus l'accès au Royaume de Dieu qu’elles ne le favorisent pour beaucoup de personnes. Soit. Mais croyez-vous que la compréhension du Royaume de Dieu soit si compliquée ? Alors que le plan du salut en Jésus-Christ a été révélé à des gens sans instruction ? Que ce soit pour ces bergers venus s’incliner là où Jésus, nouveau-né, se trouvait ? Que ce soit pour ces hommes qui, répondant à l’appel du Seigneur Jésus, laissèrent leurs occupations professionnelles pour Le suivre dans le champ de mission, n’entendaient-ils pas de la part de certains religieux cette remarque « ce sont des gens sans instruction ! » Jésus n’a-t’il pas choisi cette équipe pour révolutionner ce monde ?

Méditons sur le dialogue que notre Seigneur Jésus a avec le jeune homme riche (Luc 18 : 15 à 30).
Jésus dit que le royaume de Dieu est accessible aux enfants et à ceux qui leur ressemblent. Et voilà qu'un chef religieux, instruit dans les Saintes Écritures, vient à lui et se justifie en démontrant les biens qu'il possède par ses œuvres, tandis qu’il applique à la lettre les commandements de Dieu.
Jésus ne lui fait aucun reproche sur ce qu’il vise à démontrer la perfection de son vécu. Toutefois, il va toucher la faille de son armure en lui faisant découvrir qu’il lui manque l'essentiel : « Il te manque encore une chose : vends tout ce que tu as, distribue-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens et suis-moi. » Et voici que cet homme est devenu triste. Il croyait avoir tout acquis et satisfait aux commandements de Dieu. Et le voici ébranlé. Jésus ne lui dit pas que ce qu’il a fait est perdu, mais d’aller plus loin sur la route du vainqueur. Il l’invite à vendre ce qu’il possède à ceux que cela peut intéresser, et de donner le fruit de cette vente à ceux qui sont dans le besoin ; il lui assure qu’il aura alors un trésor en conséquence dans le ciel.
En effet, pour ce chef, ce supérieur en instruction, comment se séparer de tels biens acquis au gré du temps pour accéder à un autre registre, celui où l’Esprit de Dieu vise à ce que nous accédions avec Jésus dans la plénitude de sa gloire ? Cet homme vivait sous le couvert de sa doctrine dans « son petit royaume » où il était captif de ce qu’il possédait. Jésus lui donne l’occasion d’en sortir en l’invitant à le suivre pour découvrir ce qu’il ne voit pas du sein de sa captivité « espace, matière, temps ».
Jésus vit alors qu’il était difficile pour un riche « d’entrer » dans le Royaume de Dieu, afin de vivre selon le plan de Dieu établi pour le vainqueur. « Ceux qui l’écoutaient dirent : « Qui donc peut être sauvé ? » Jésus répondit : « Ce qui est impossible aux hommes est possible à Dieu. »

Recherchons les choses d’en-haut. Ne nous lassons point. Le Royaume de Dieu est au ciel, là où Jésus siège. De même que nous avons reçu le Saint-Esprit, croyons que nous pouvons êtres revêtus par l’empreinte de sa nature fait de feu céleste, c’est-à-dire l’Amour parfait de Dieu ; alors nous ne risquerons pas de ressembler à des cymbales qui résonnent (1 Corinthiens 13). Car cet Amour parfait est la condition requise pour excuser tout, pardonner tout, ne pas soupçonner le mal. Cette nature nous rend réellement libres face à celui qui n’a de cesse d’accuser nos frères et sœurs jour et nuit devant Dieu et qui, de surcroît, vise à faire de certains chrétiens des « juges ». Or, devons-nous « rechercher » la dimension réelle de cet Amour parfait dans l’union avec Jésus Glorifié ; il bannit la crainte de cet avenir qui s’assombrit aux yeux d’un grand nombre de chrétiens ; beaucoup sombrent dans le pessimisme et sont dans l’incapacité de voir les réalités célestes. Prions qu’ils reçoivent le message de Jean qui est le Caleb, le Josué de notre temps pour passer de l’autre coté.

Le monde considère – sans l’avoir lu - que l’Apocalypse est un temps catastrophique avec ses horreurs à venir qui en découlent. C’est une vision, un pressentiment pour ceux qui refusent le plan du salut en Jésus et qui ont, par conséquent, les yeux bouchés ; ils ne voient pas la « porte » d’accès pour leur salut. Certes. Il est indispensable que chaque chrétien vise à revêtir l’empreinte de Jésus-Christ Glorifié pour échapper aux œuvres de ténèbres qui pèsent de plus en plus sur ce monde. Encourageons-nous les uns les autres en ce sens. Serrons-nous les coudes. Informons, préparons nos familles à s’engager sur la route du vainqueur, comme au temps de Caleb et Josué où le peuple s’est engagé à passer de l’autre côté pour entrer dans le pays de la promesse.
Sur la route du vainqueur, pour nous chrétiens, la révélation – description - de l’Apocalypse reflète à l’inverse une bonne nouvelle. Jésus est revenu vers Jean – vers nous –, pour nous inviter à l’emprunter en vue de vivre victorieusement à partir des lieux célestes où nous sommes appelés à siéger ensemble dès maintenant en Christ, et le suivre alors dans l’achèvement de l’ouvrage sur la terre. Là est le plan véritable de l’évangélisation : Tel Jésus est, tels nous sommes destinés à être dans la traversée de ces évènements à venir.

Chers amis, frères et sœurs, en résumé, la notion « d’entrer » dans le Royaume de Dieu nous projette dans la découverte réelle des réalités du pays promis. Avec l’idée de « pénétrer », cela signifie « s’introduire » dans un lieu pour « saisir » les provisions de notre héritage. Considérons la perspective que Jésus nous donne dans ce verset de Jean 10 : 9 : « C’est moi qui suis la porte. Si quelqu’un entre par moi, il sera sauvé ; il entrera et il sortira, et il trouvera de quoi se nourrir. »
Le fait d’entrer ne signifie pas « mourir ». Là n’est pas la finalité, puisque la mort a été vaincue et que si nous entrons, c’est que nous sommes revêtus de l’incorruptibilité et de l’immortalité. Nous en sortons donc également pour ÊTRE sur la terre ce qu’il a fait de nous : Être comme LUI et accomplir les mêmes œuvres, même de plus grandes. La notion de « sortir » s’exprime donc par le fait d’émerger, de jaillir, d’éclore, de produire ce que nous sommes avec Jésus au ciel. Nous ne pouvons pas imaginer entrer dans le Royaume de Dieu et en sortir les mains vides. Jésus était sur la terre ce qu’il était au ciel, faisant ce qu’il voyait faire au Père. La multiplication des pains en est une illustration (Matthieu 14 :17). Pierre et Jean qui rencontrent le boiteux à qui Pierre dira « ce que j’ai, je te le donne : au nom de Jésus-Christ de Nazareth, lève-toi et marche. Et le prenant par la main droite, il (Pierre) le fit lever. Au même instant, ses pieds et ses chevilles devinrent fermes ; d’un saut il fut debout, et il se mit à marcher. Il entra avec eux dans le temple, marchant, sautant et louant Dieu. » (Actes 3 :6-8). Dans l’action du Saint-Esprit et de feu, Pierre et Jean avaient part à ce que Jésus était dans sa gloire !!! (Actes 2 :1-4). Quelle démonstration d’évangélisation !!!

Chers amis, frères et sœurs, cherchons et entrons réellement dans le Royaume de Dieu, nous en sortirons pour ÊTRE ce que Jésus a fait de nous, nourrissant, ravitaillant, approvisionnant, fournissant, munissant, pourvoyant, accomplissant, achevant, donnant de notre sein ce qui doit jaillir comme un fleuve d’eau vive.
Le monde est en crise ? Le royaume de Dieu ne l’est pas. Choisissez votre modèle d’inspiration pour agir dans le bon sens.
J’invite chacun à se tenir dans la présence du Seigneur Jésus Glorifié. Comme l’aigle s’élève dans les hauteurs, laissons-nous élever dans Sa gloire. Là est notre victoire, notre capacité d’avoir part à la plus belle et honorable mission que Jésus nous offre de vivre en union avec lui.
Il fait de toi le vainqueur destiné à être au nombre « des sacrificateurs » qui forment Son Royaume.
Là est Son appel, son invitation.
Quant à nous, nous sommes engagés sur la route du vainqueur en vue d’avoir part concrètement à sa plénitude ; d’ores et déjà nous entrons dans le vécu de certaines réalités célestes, et recevons, sur la révélation de ses promesses, des explications précises sur des expériences passées et récentes.

C’est avec conviction, assurance que j’exprime ce message tant par le moyen du blog, la vidéo, et autres moyens pour donner l’occasion à toute personne la possibilité de s’engager sur la route du vainqueur.
Une chose est certaine, la joie du Seigneur Jésus est notre juste rémunération. Elle est notre force d’action à partir des lieux célestes, en vue d’instruire et d’encourager toute personne à découvrir les réalités du Royaume de Dieu et d’en sortir pleinement comblée à tous égards, et être ainsi assurée de son identité en Christ glorifié.
Que le Saint-Esprit vous dirige et soutienne votre démarche de foi.
Dieu soutient Son œuvre de foi et d’amour, et ses sacrificateurs ne manquent de rien pendant leur travail.

Fraternellement en Lui,
Votre frère et ami
Yves GRAVET

mercredi 25 janvier 2012

Bienvenue

Le 13 Janvier 2012


Chers amis Internautes, nous vous souhaitons la bienvenue sur notre blog personnel, et, par la même occasion, sur celui de Vie Comblée, oeuvre associative chrétienne fondée en 1988. (Pour consulter ce blog, cliquer sur ce lien "Association Chrétienne Vie Comblée" .

Par nécessité de réactualiser ce que nous croyons et estimons avoir mission de servir, nous avons effectué un rafraîchissement sur nos deux blogs, afin qu'ils soient plus aérés et vous offrir   le temps d'une lecture plus agréable.

Vous découvrirez sur le blog Vie Comblée des diaporamas photos qui visent à exprimer le partenariat, une expression concrète du Saint-Esprit qui habite chaque personne désireuse de soutenir cet ouvrage, à sa convenance, par le service de sa libéralité. 

Vous pouvez, vous aussi, être cette personne... car là où est l'Esprit du Seigneur Jésus, là est la liberté de servir ce qu'il nous donne de servir, en vue de promouvoir Son oeuvre pour l'honneur de Son Nom.

Notre Père fait de nous des faiseurs de bénédictions, en vue de manifester le ciel sur la terre...  Chaque humain est cette terre ; l'homme a été créé à partir de la poussière et de l'eau. 

Notre Père, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Il fait de nous Ses partenaires ; il nous invite à participer à Son oeuvre en confiant notre vie (esprit, âme et corps) à notre Seigneur Jésus qui est le Chef de Son Eglise, celle qui se rassemble dans la Salle du Trône. Elle est glorieuse, sans tâche, ni ride...

Soyons des PARTENAIRES EN ACTION !
Fraternellement en Lui.
Yves Gravet
Pasteur - Missionnaire